Partie 13 - La Plus Grande Histoire JAMAIS Racontée !
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Partie 13 - La Plus Grande Histoire JAMAIS Racontée !
LA BATAILLE POUR LA SICILE EST TERMINÉE
L'ITALIE DÉCLARE LA GUERRE À HITLER
LES ARMÉES ALLIÉES ATTERRISSENT EN FRANCE DANS LA RÉGION DU HAVRE-CHERBOURG ; LA GRANDE INVASION EST EN COURS
LES TROUPES AÉRIENNES SE DÉVERSENT SUR LA FRANCE
Le 5 août 1944 la plus grande armada, jamais rassemblée, quitte le Sud de l'Angleterre et s'élance vers les côtes de France.
L'histoire s'en souvient comme le D-Day.
Alors que les bateaux se dirigent vers la France, les hommes, dont beaucoup d'entre eux vont mourir,
prennent soin des corvées de dernière minute.
Cet imitateur d'Hitler divertit les hommes pour leur changer les idées, au moins pour quelques instants.
Mais le temps du divertissement prend fin alors que les côtes de France sont en vue.
Le jour suivant le matin du 6 juin, un énorme barrage
frappe les fortifications d'Hitler en Normandie,
créant un passage pour les hommes qui arriveront bientôt sur les plages.
La nuit précédente, 23,000 troupes aéroportées ont été parachutées derrière les lignes ennemies.
Afin de sécuriser les flancs du débarquement.
Sur les plages de Gold, Juno, Sword, Utah et Omaha, 130,000 troupes alliées allaient maintenant attaquer 5 zones lourdement défendues du mur de l'Atlantique d'Hitler.
Ensemble Roosevelt et Churchill, après avoir fourni durant des années de l'aide financière et militaire à l'Union Soviétique,
finalement envoient des troupes pour combattre et mourir pour Stalin et le régime meurtrier bolchévique.
Les idéologies du Capitalisme et du Communisme vont maintenant se combiner pour annihiler non seulement l'Allemagne et son peuple,
mais la notion même du National Socialisme lui-même.
6 JUIN 1944
SECTEUR DU CHIEN VERT - PLAGE OMAHA
LA TRAHISON DE LA POLOGNE
Le premier signal manifeste que Staline ne vient pas comme un libérateur, mais comme un conquérant, est vu fin juillet.
Alors que le Général Rokossvski prend la partie Est de la ville polonaise de Lublin,
en quelques heures des drapeaux rouges apparaissent sur la ville,
Staline a installé un gouvernement communiste fantoche: Le Comité de Lublin.
La dénonciation de cette prise de pouvoir par des polonais nationalistes en exile à Londres,
n'eu guère de réponse de la part du groupe allié du pouvoir.
Et le gouvernement polonais à Londres est impuissant pour empêcher le vol de sa constitution.
Mais ses pleurs ne vont pas longtemps rester ignorés.
L'oncle Joe Staline est sur le point de tomber le masque et montrer son vrai visage au monde.
Le 29 juillet, la radio soviétique émet un plaidoyer général pour le mouvement des résistans polonais : Home Army
Une diffusion radiophonique, soigneusement formulée, appelle à une résistance active aux forces d'occupation.
Et donne l'impression, sans jamais le dire directement, que l'Armée Rouge est sur le point de prendre la ville d'assaut.
Mais l'Armée Rouge ne bouge pas de sa position juste à l'Est de la ville.
Et Staline le sanguinaire pour faire monter la pression sur les dirigeants occidentaux, rejette sinistrement
la requête de Churchill pour l'utilisation de l'aérodrôme soviétique afin que les avions de la RAF l'utilise pour y larguer des fournitures.
Sans aide, les polonais sont condamnés.
La bataille pour la ville fait rage jusqu'en août et septembre.
Mais peu à peu, inévitablement, le mouvement de résistance polonais est décimé.
Staline fait face aux critiques internationales début septembre,
quand une augmentation des aides soviétiques arrive trop tard.
Les derniers survivants de Home Army se rendent début octobre.
Le Premier Ministre britannique Churchill en visite à Moscou,
et il vient parler de la destinée de l'Europe Occidentale.
Et il sait qu'il y a peu de chose que l'Angleterre, ou même les États-Unis, peut faire
pour arrêter un homme dont l'ambition est soutenue par l'Armée Rouge.
Aussi les deux dirigeants parviennent à un accord pragmatique.
Parcemé sur un morceau de papier brouillon, il concède le contrôle soviétique de la Bulgarie, la Hongrie et la Roumanie,
en retour de la garantie de Staline de non intervention dans la politique grecque.
Le futur de la Yougoslavie est laissé ouvert.
Et Staline refuse même de parler de la Pologne.
L'ENNEMI À L'INTÉRIEUR
Bien que la propagande alliée voudrait nous faire croire le contraire, Adolf Hitler fut l'un des dirigeants les plus populaires que le monde ait jamais vu.
Cependant, comme ce fut le cas pour Jules César, le danger pour le Führer viendrait de l'intérieur.
Hitler avait toujours douté de la loyauté de quelques officiers de l'aristocratie, et en 1944 ses doutes seront justifiés.
Seulement l'assassinat pourrait casser les liens de loyauté à Hitler, qui se comptaient encore par millions.
Les seuls comploteurs pouvant approcher du Führer étaient des officiers de l'Armée.
L'officier qui est presque parvenu à tuer Hitler était le Colonel Claus von Stauffenberg.
Il tenta sa chance lors d'un briefing le 20 juillet 1944.
''C'était précisément le moment, quand nous étions à la toute fin... situation militaire précaire.
Et la seule façon d'éviter, peut-être, la catastrophe, était Adolf Hitler.
Cette opinion était partagée par beacoup d'allemands
Des allemands qui n'étaient pas membres du parti.
À Wolfschanze (''Wolf's Lair''), le quartier général d'Hitler dans l'Est de la Prusse, Claus von Stauffenberg et les conspirateurs ont échoué dans leur tentative de tuer Hitler et le coup d'État qu'ils souhaitaient effectuer.
Le 21 juillet 1944, à 12:30, Stauffenberg est exécuté par un peloton d'exécution.
Les autres conspirateurs sont rassemblés et -jugés comme traitres- tués par un peloton d'exécution ou pendus.
Inquiets et dupés, ils avaient essayés de se sauver en planifiant de négocier un traité de paix séparé avec Roosevelt et Churchill,
dans l'espoir futile d'éviter que Staline n'envahisse l'Allemagne.
À suivre