Rural-Women-Long-Version-FNL
0 (0 Likes / 0 Dislikes)
Fonds Mondial pour les Femmes.
L’accès à la nourriture est un droit humain.
La sécurité alimentaire est la capacité pour
une communauté de pouvoir satisfaire leurs besoins en nourriture.
D’avoir assez de nourriture leur permettant de survivre.
Fonds Mondial pour les Femmes
l'initiative pour l'agriculture durable.
Fonds Mondial pour les Femmes a pris la décision
d’investir dans les organisations de femmes rurales,
dans trois pays : le Burkina Faso, le Kenya et l'Ouganda.
Notre action reflète le point que nous essayons d’accentuer sur
le travail important qu’accomplie la femme rurale,
pour faire face à l'insécurité alimentaire
via l’agriculture durable et aussi
la promotion des droits de la femme.
Nous savons qu’à travers les régions africaines, il y a eu
plusieurs pénuries alimentaires
et aussi qu'il y a un débat au niveau mondial sur les solutions
pouvant résoudre ce problème.
Mais généralement les organisations de femmes rurales
ne font pas parties de ce débat.
Lorsque nous réfléchissons aux droits de la femme,
nous pensons à leur capacités de subvenir aux besoins
de leur familles,
à pouvoir choisir le type d’aliments qu'ils préfèrent,
mais aussi de faire partie du processus de décisions,
en termes de politique agricole,
en termes de politiques de productions agricoles,
d’être dans les sphères de décisions au niveau locale,
nationale tout comme au niveau internationale.
Et nous avons remarqué que les femmes ne
faisaient pas parties de ces spheres.
Nous voulions aussi appuyer ces organisations
de femmes qui soutiennent les femmes rurales
cherchant à devenir propriétaires de terrains,
, terrains sur lesquels ils cultivent leurs nourritures.
Bien souvent nous effectuons notre travail dans des régions
où les femmes n’ont pas le droit de devenir propriétaires de terrains.
Donc nous voulons aussi travailler dans la promotion du droit foncier.
Il y a une intersection entre la sécurité alimentaire et les droits de la femme.
Et parce que ceci était une initiative de recherches,
nous avons effectué une recherche de base
aux seins des vingt-deux groupements inclus dans cette initiative.
Dans cette recherche, la plupart des femmes interrogées, ont confirmé qu’elles subissaient
l’insécurité alimentaire.
Ce qui signifiait qu’elle mangeait une fois par jour,
et une minorité d’entre elles qui mangeaient deux fois par jour,
ce qui est impressionnant
Une autre réalité
était aussi que plusieurs communautés souffraient de
la baisse du niveau de la pluie.
Ils devaient trouver des stratégies pour cultiver
malgré le manque grandissant d'eau de pluie
et l’autre réalité était que les femmes
avaient peu d’activités économiques en dehors de l’agriculture.
Nous essayions de voir à quel degré cela
pourrait être plus diversifiée.
Nous voulions aussi supporter les organisations de femmes
avec lesquelles nous collaborions
pour renforcer leur capacités dans les programmes d’agricultures,
et cela était l'un des objectifs clés de l’initiative.
Malgré que les vingt-deux groupements avait une
historique déjà établie de former et de soutenir les femmes sur le terrain,
ils voulaient devenir encore plus professionels.
Ils avaient besoin de plus de financement pour réaliser cela.
Après l'initiative, après une année et demi passé.
Les vingt-deux groupes ayant implémenter leurs travaux,
nous sommes capables maintenant d’avoir
de très intéressantes constatations, dans le cadre de la production agricole,
parce que la production a augmenté,
en termes de récoltes agricoles
que les femmes rurales avaient eu l habitude de plantées dans leur communautés.
Dans certains cas elles ont accru de plus de cinquante pour cent,
, et cela varie selon les pays en particulier
en Ouganda,
nous avons vu un accroissement conséquent.
nous avons également constaté
un essor dans les revenus agricoles.
Les revenus des femmes ont évolués de trente pour cent.
Dans un même temps nous avons vu une progression dans le nombre de femmes
étant capable d’avoir d'autres activités génératrices de revenue.
Une progression de vingt-cinq pour cent de femmes capables
de diversifier et d’ajouter d’autres types d’activités génératrices de revenue,
comme le traitement alimentaire
ou même le petit commerce.
Nous avons fait une évaluation de l’impact
et l’avons ainsi comparé à l’évaluation de base.
Selon les pays,
ils ont augmenté entre cinquante
et quatre-vingt-dix pour cent.
En termes de familles pouvant maintenant manger trois repas par jour.
Ce qui est vraiment passionnant.
Vous savez c'est vraiment ce que tout le monde devrait avoir.
L’agriculture pour nous veut dire faire partie d'une société
qui a les ressources pour se nourrir
mais pas seulement de la nourriture,
mais assez de nourriture,
pour tous les cercles, tout au long de l’année!
où toute la communauté en particulier,
dans les foyers,
les mères peuvent se permettre
d’avoir de la nourriture tout le temps.
. Nous cherchons d'autres domaines
où nous pouvons leur donner plus d’atouts
surtout dans le cadre des connaissances
et des informations,
pour qu’ils puissent avoir des pratiques plus durables,
pour s’assurer que cette nourriture
sera là au quotidien.
Maintenant on peut voir les femmes
s’organiser lorsqu’il y a des journées sur le terrain
les femmes coupent les citrouilles,
elles coupent les légumes qui sont mûres.
Lors du grand évènement à Kakamega,
l’évènement du SSK,
les femmes sont celles qui sont en avant-garde ,
qui travaillent avec les officiers du ministère de l’agriculture,
pour montrer leur savoir-faire
dans la production de la banane,
des citrouilles,
des aliments indigènes qui avait disparu de l'usage des communautés.
Tout ceci se déroule très positivement.
Notre plus grand accomplissement
a tout d’abord été d’équiper les femmes rurales
avec les techniques d’agricultures durables
et aussi de rendre leur attitude positives par rapport
rapport à l’usage d’engrais organiques,
et aussi de se rassembler en entreprise
et pas seulement cela,
mais aussi de s’assurer
qu’elles obtiennent assez de nourriture
pour être des citoyennes en bonne santés.
Il y'a une femme avec qui nous travaillons,
elle s’appelle Muriette,
elle a huit enfants,
six lui appartenant et deux autres qui sont
les enfants d’une tante décédée après avoir eu le VIH
Étant veuve et son mari étant mort,
elle dispose d’un Anchorage de terrain,
mais elle n’avait pas la connaissance
ni le savoir-faire pour l’améliorer.
Elle n’avait surtout pas de capital pour
investir, pour atteindre son but.
Nos formations dont elle a bénéficier,
lui ont permis de non seulement cultivée
son hectare de terre
mais aussi d’étendre sa ferme,
parce qu’ elle sait maintenant
que si elle continue à travailler ainsi
elle aura de meilleures récoltes
donc elle était vraiment dans une situation où
elle vivait dans son propre monde
sans aucune aide propre
lorsqu’ elle a su qu’ elle pouvait
être aider, qu’ elle pouvait travailler et aider sa famille
et que ses enfants pouvaient aller à l’école maintenant
maintenant elle peut avoir de meilleures récoltes.
Quatre de ces huit enfants vont à
l’école alors qu'initialement,
elle était assise avec ses enfants
sans savoir que faire mais plus encore,
mis à part qu’elle ne savait pas que faire
ni comment avoir assez d'aliments
pour nourrir une famille comme la sienne
C'est la triste histoire que les gens
gens combattent en Ouganda.
Ils combattent pas juste pour aujourd’hui
mais pour le futur.
Et ça c'est réassurant,
qu'elle ait une paix d'esprit,
parce qu'elle sait quoi faire et comment s'en sortir.
Nous sommes très fière.
Avec beaucoup de reconnaissance pour nos bénéficiaires et collaborateurs ayant participées a cette vidéo.
Cette initiative a été fondée par la Fondation Bill et Melinda Gates.
Supportez les droits humains de la femme et l'agriculture.
Joignez le Fond Mondial pour les Femmes. WWW.GLOBALFUNDFORWOMEN.ORG/DONATE